UNE TRES BELLE HISTOIRE DE THEATRE de Pierre-Etienne Royer
Avec des extraits de Platon à Koltès
« La mise en scène enlevée nécessite une performance à la fois physique et artistique. »
OUEST FRANCE
« Textes et mise en scène rendent un hommage de grande qualité aux grands auteurs francophones et sont une illustration idéale des programmes scolaires en vigueur. »
Son Excellence, ISSA ABOURHAMANE, Ambasseur de la francophonie
« Le succès de ses représentations a montré la grande pertinence du travail de comédien et de metteur en scène d’Arnaud Beunaiche. »
Madame LECLERE GUILLOMO, Principale du collège Majorelle, Marrakech (Maroc)
« Une écriture théâtrale à la fois ludique et pédagogique. »
Monsieur Stéphane GIRARD, Proviseur du Lycée Théodore Monod, Nouakchott (Mauritanie)
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Mise en scène : Pierre-Etienne Royer
Interprétation : Pierre-Etienne Royer et Ariane Heuzé
Durée : 1h
Public : familial
Registre : Comédie
Tarif : 2.000€ pour une représentation unique
Tarif à négocier en cas de programmation récurrente
+ frais de déplacement (0,50€/km + péages)
« Tout au long du spectacle, l’histoire paraît mystérieuse, peut-être perçue comme insignifiante jusqu’au drame final, horrible. Le public cesse alors de rire. Définitivement. Et s’inquiète. Vraiment. A voir absolument, pour être dépaysé. Doucement effrayé, aussi. »
Monsieur OLIVIER PRADEL,
Les Trois Coups
« La représentation laisse les spectateurs médusés, littéralement cloués sur leurs sièges, tétanisés sur place. On a pu entendre, au sortir de la salle des « Ce que j’ai eu peur ! » attestant ainsi de l’impact du jeu de l’acteur sur le jeune public, et de la force, encore actuelle, d’un texte du 19ème siècle. »
Monsieur DUBUS
Enseignant de Français, Briare
14 août. — Je suis perdu ! Quelqu’un possède mon âme et la gouverne ! quelqu’un ordonne tous mes actes, tous mes mouvements, toutes mes pensées. Je ne suis plus rien en moi, rien qu’un spectateur esclave et terrifié de toutes les choses que j’accomplis. Je désire sortir. Je ne peux pas. Il ne veut pas ; et je reste, éperdu, tremblant, dans le fauteuil où il me tient assis. Je désire seulement me lever, me soulever, afin de me croire encore maître de moi. Je ne peux pas ! Je suis rivé à mon siège ; et mon siège adhère au sol, de telle sorte qu’aucune force ne nous soulèverait.
Puis, tout d’un coup, il faut, il faut, il faut que j’aille au fond de mon jardin cueillir des fraises et les manger. Et j’y vais. Je cueille des fraises et je les mange ! Oh ! mon Dieu ! Mon Dieu ! Mon Dieu ! Est-il un Dieu ? S’il en est un, délivrez-moi, sauvez-moi ! secourez-moi ! Pardon ! Pitié ! Grâce ! Sauvez-moi ! Oh ! quelle souffrance ! quelle torture ! quelle horreur !
MARIE RAGUENEAU. - Cet enterrement en pleine nuit était tellement émouvant…
LA GRANGE. - Tous ces gens réunis pour accompagner la dépouille de Molière jusqu’au cimetière Saint-Joseph… C’était un spectacle bien étrange.
MARIE RAGUENEAU. - Armande, elle-même, a été surprise d’une telle affluence pour des funérailles tenues secrètes.
LA GRANGE. - Tu as vu, elle a même dû jeter quelques pistoles à la foule des badauds pour leur demander de retourner chez eux dire une prière pour Molière !
MARIE RAGUENEAU. - Armande est une brave femme. Elle a dû supplier notre roi d’intercéder auprès de l’archevêque de Paris. Sans cela Molière n’aurait jamais été inhumé dans un cimetière chrétien…
LA GRANGE. - Et il aurait rejoint la fosse commune comme tous les comédiens. Je ne comprends pas pourquoi cette condition de comédien devrait nous condamner à l’Enfer éternel… Mais le temps presse, hâtons-nous de faire l’inventaire et de ranger l’atelier de la troupe. Il faut nous préparer à rejoindre le Théâtre de Guénégaud qui a accepté de nous accueillir. Mais pourquoi sommes-nous les seuls ici ? La Duparc et La Brie ne doivent-ils pas nous rejoindre ?
MARIE RAGUENEAU. – La Duparc ! La Duparc ! tu n’as plus que son nom à la bouche depuis quelque temps !
LA GRANGE. – Ne sois donc pas si jalouse, tu sais bien que mon cœur est tout à moi ! Aide-moi plutôt à plier ce drap .
MARIE RAGUENEAU. - Crois-tu que l’Illustre Théâtre va survivre à la mort de Molière ?
LA GRANGE. - Je ne sais pas. Madeleine Béjart qui avait créé la troupe nous a quittés, maintenant c’est au tour de Molière… Avec son décès, nous avons perdu un comédien mais aussi un auteur, un metteur en scène, un directeur de troupe. C’est à nous maintenant de perpétuer son œuvre et de la transmettre. Notre travail sera un hommage à notre maître.
MARIE RAGUENEAU. - Quand je pense à lui, je ne peux m’empêcher de le revoir sur scène… Argan aura donc été son dernier rôle… Mais pourquoi a-t-il tant insisté pour jouer le Malade Imaginaire, lui qui souffrait tellement de ses fluxions de poitrine ?
« Un spectacle enlevé, drôle et rythmé. » LA VOIX DU NORD
« La Compagnie Emporte-Voix, créée en 2004, ambitionne de défendre le patrimoine culturel français ainsi que la francophonie et cette compagnie se donne les moyens de son objectif. » OUEST FRANCE
« Arnaud Beunaiche met sa plume au service des programmes scolaires pour contribuer à l’apprentissage de la culture et de la langue françaises par les plus jeunes. »
Son Excellence, Monsieur FREDERIC BONTEMS,
Ambassadeur de France en Ethiopie
«Textes et mise en scène rendent un hommage de grande qualité aux grands auteurs francophones et sont une illustration idéale des programmes scolaires en vigueur.»
Son Excellence, Monsieur BOUBACAR ISSA ABOURHAMANE,
Ambassadeur de la francophonie
DU THEATRE POUR TOUS
Recueil de cinq pièces de théâtre
Auteur : Arnaud Beunaiche
10€ l’exemplaire (hors frais de port)
Format poche (11x18 cm), 306 pages, ISBN : 9782955573709
Olympe-sur-Seine, Merci Monsieur Molière, V comme Hugo, Complot Royal, Adjugé (presque) vendu !
Quels points communs peut-on trouver entre Molière, Zeus, Hugo, Vatel et Kandinsky? Une même envie pour un auteur dramatique de faire redécouvrir de grandes pages classiques, des oeuvres majeures, de belles histoires, drôles, romantiques ou tragiques.
A travers ces cinq courtes pièces de théâtre, Arnaud Beunaiche rend hommage aussi bien aux maîtres de la comédie, de la gastronomie que de l'art pictural.
S'instruire, se divertir, ressentir, comprendre l'autre et le monde... Le théâtre permet tout cela à la fois. Il participe aussi d'une culture commune, dernier rempart contre l'ignorance, la misère et la barbarie.
NOUVEAUX MONDES
Drame historique
Auteur : Arnaud Beunaiche
Préface : Aurélie Houdebert
5€ l’exemplaire (hors frais de port)
Format poche (11x18cm), 74 pages, ISBN : 978-2492146015
Suivi d’un dossier pédagogique sur les grands explorateurs.
Fernando de Triana s’apprête à embarquer avec Magellan pour un tour du monde périlleux. Il se souvient de ses deux voyages avec Colomb. Il rédige un journal intime dans lequel il est bien décidé à rétablir quelques vérités historiques... Vie à bord de la Santa Maria, esprit de conquête et d’aventure, rencontre avec les indigènes. Mais qui a véritablement découvert le Nouveau Monde ? Tout est une question de point de vue...
"Pleinemenent moderne, la pièce se situe au carrefour de deux genres en pleine expansion à la fin du XVème siècle et promis à un bel avenir : le récit de voyage autobiographique et le drame historique" (Aurélie Houdebert)
Zeus, sous les traits d’Edouard
Mais dites-moi, ma chère, connaissez-vous le charme de l'Olympe ? Une beauté comme vous, en d'autres époques, n'aurait pas manqué d'en fouler le sol et aurait mis bien des Dieux à ses pieds... Laissez-moi vous en décrire la splendeur.
Héra, sous les traits de Mélodie, qui s'assoit curieuse et amusée de l'entendre décrire l'Olympe
Je suis tout ouïe...
Zeus, sous les traits d’Edouard, rêveur
Les douze grands dieux de la Grèce habitaient donc sur l'Olympe, une inaccessible demeure. Montagne d'une masse imposante, l'Olympe était la cime la plus haute du monde grec. Sur cet Olympe radieux, chaque dieu avait son palais. On y goûtait une joie éternelle, se délectant donc de nectar et d'ambroisie. Vivant dans un bonheur constant, les dieux ne descendaient que rarement sur la Terre.
Héra/Mélodie, pour elle-même
C'était le bon temps...
Zeus, sous les traits d’Edouard
Parmi les divinités olympiennes, on comptait six déesses et six dieux. Zeus, leur chef suprême, Zeus, à la voix puissante, père des dieux et des hommes, maître de l'Ida, sauveur, protecteur des hôtes...
Héra/Mélodie
Oui bon, on a compris, Zeus quoi !
« Un spectacle de qualité, magnifiquement interprété. Les décors sont splendides. La représentation interactive était à la fois instructive et ludique. Un très bon lien entre les cours de français et d’histoire. »
Madame LAURENCE HANOUS,
Enseignante de français à Orléans
« Arnaud Beunaiche, auteur et metteur en scène, adapte avec talent ses pièces de théâtre aux différents publics en s’attachant à une interactivité très enrichissantes pour nos élèves. »
Monsieur JEAN-PIERRE PASQUIOU
Proviseur du lycée français de Djibouti
«La Compagnie Emporte-Voix, créée en 2004, ambitionne de défendre le patrimoine culturel français ainsi que la francophonie et cette compagnie se donne les moyens de son objectif. »
OUEST FRANCE
Le jour du grand départ avait été fixé au 3 août 1492. Une étrange excitation teintée d'angoisse nous avait tous envahis ce matin-là. Pendant la confession générale qui avait eu lieu sur le port, je me posais beaucoup de questions, sur ma vie future mais aussi sur ce personnage plein de mystères qui nous conduisait peut-être à notre perte. Mais l'assurance de ce Christophe Colomb, la dureté de son regard et la puissance de sa voix me rassuraient. Comme j'étais naïf ce matin-là sur le port de Palos ! Mais il n'était plus possible de reculer, déjà l'Amiral donna l'ordre d'appareiller. L'aventure commençait !
Très rapidement, il me fallut apprendre les rudiments de la navigation et croyez-moi, dans les premiers jours en mer, je m'égarais facilement à bord de la Santa María ! Les marins plus aguerris étaient rudes avec moi, sous prétexte que la moindre erreur mettait en péril la vie de l'équipage au complet. C'est pour cette raison qu'ils me donnaient des ordres que j'avais du mal à comprendre : « Affalez la vergue supérieure du mât de misaine ! » , « Briquez le pont arrière ! », « Déferlez les voiles latines ! ».
Je ne comprenais pas un traître mot à tous ces ordres, ce qui ne faisait qu'accroître la colère du marin qui me les hurlait. Mais par la grâce de Dieu, le matelot Alonso, lui-même au service d'un marin nommé Juan Rodrigues de Guinea, me vint en aide. Il prit le temps de m'apprendre tous ces mots qui m'étaient alors inconnus et qui allaient pourtant devenir pour les années à venir mon vocabulaire quotidien : mât de misaine, grand mât, mât de beaupré, haubans, vergues, cale, pont avant, gaillard, hune, ancre, gouvernail, proue, poupe, voiles latines, voiles carrées...
Scène 5
JULIETTE - Tu es si romantique. N'est-ce pas comme cela que l'on vous nomme désormais, tes amis Lamartine, Vigny, Musset, Mérimée, Delacroix et toi ? les « Romantiques » ?
HUGO - Je ne suis guère attaché aux étiquettes, tu le sais. Toute cette histoire a commencé avec le préface de ma pièce Cromwell, mais tout s'est accéléré avec la bataille publique autour d'Hernani.
JULIETTE - Raconte-moi !
HUGO - J’avais envoyé un exemplaire de la pièce, Hernani, qui devait se jouer au Théâtre Français. Mais le censeur du Ministère de l'Intérieur a exigé des corrections et des suppressions sans lesquelles la pièce serait interdite. J'ai laissé paraître que j'allais accéder à ses demandes. Mais comme je pressentais qu'une cabale s'organisait contre moi, j'ai demandé à mes amis d'assister à la première représentation le 25 février 1830. (Il se lève et fait face au public comme s'il revoyait la scène depuis le plateau du Théâtre Français.) Il y avait là entre autres Théophile Gautier, qui portait pour l'occasion son désormais célèbre gilet rouge, Gérard de Nerval, de Vigny, Berlioz, Dumas. Chateaubriand, pour ma plus grande fierté était présent dans la salle. Mes amis avaient pour mission de défendre la pièce en applaudissant à tout rompre. Mais la cabale s'était bien organisée, aidée en cela par la censure. Et pendant la pièce, l'atmosphère était très tendue. Des cris jaillissaient, on sifflait mes attaques contre le roi, de vraies bagarres ont éclaté entre mes partisans et mes ennemis... Mademoiselle Mars, Firmin, Michelot et Joanny qui avaient les rôles principaux ont tenu bon, jusqu'au baisser de rideau.
JULIETTE - De véritables bagarres ? Dans la salle ? Moi qui adore cette pièce au point d'en connaître certaines scènes par coeur, je ne comprends pas. Que reprochait-on à ta pièce pour en arriver à une telle violence ?
HUGO - Comme je l'avais expliqué dans ma préface de Cromwell, je crois au libéralisme en littérature. Je plaide pour la liberté de l'art contre la dictature des systèmes, des codes et des règles. Par exemple, je ne crois pas au bien fondé de l'unité de lieu. Pourquoi toute une pièce devrait-elle se dérouler au même endroit ? Et bien, non ! Je n'y crois pas. C'est pour cela que l'action d'Hernani se joue tantôt dans la chambre de Dona Sol tantôt au fond d'une grotte. Les partisans de la littérature classique ne me l'ont pas pardonné. C'est en somme une nouvelle bataille entre les Anciens et les Modernes. Et sous prétexte que je fais déborder l'alexandrin sur plusieurs répliques, il ont crié au scandale ! Moi, Victor Hugo, j'aurais assassiné l'alexandrin !
JULIETTE - Eh bien moi, j'adore ta pièce, Victor. Surtout la scène 4 de l'acte 2 quand Dona Sol est prête à tout quitter pour suivre Hernani dont elle est amoureuse, au risque de perdre son honneur et sa vie. Je comprends cette femme et j'ai parfois l'impression de suivre son chemin...
Elle se lève. On comprend qu'ils vont rejouer la scène.
Scène 6
JULIETTE/DOÑA SOL, saisissant la main d'Hernani. - Maintenant, fuyons vite.
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« Avec « V comme Hugo », le spectateurs se plonge dans l’intimité de l’écrivain. À la veille de son plaidoyer pour l’abolition de la peine de mort, Victor Hugo soupe avec sa maîtresse Juliette Drouet. Avec beaucoup d’originalité, la pièce fait à la fois le bilan de sa vie passée et annonce son futur roman, « Les Misérables ».
LA VOIX DU NORD
« Une représentation pas comme les autres pour plonger dans la vie de Hugo sous de multiples facettes. » LE COURRIER PICARD
« Succès devant les élèves ! Les textes et les mises en scène d’Arnaud Beunaiche pour la Compagnie Emporte-Voix rendent un hommage de grande qualité aux grands auteurs francophones et sont une illustration idéale des programmes scolaires en vigueur. J’ai moi-même pu apprécié la grande qualité de son art en assistant à la représentation de « La Parure » de Guy de Maupassant. Ce spectacle démontre tout le sérieux, l'enthousiasme et la passion que manifeste Arnaud Beunaiche pour défendre la francophonie. »
Son Excellence, Monsieur BOUBACAR ISSA ABDOURHAMANE,
Ambasseur de la francophonie
« J’ai pu assister à la mise en scène de « La Parure » d'après Guy de Maupassant. Ce spectacle a reçu un accueil enthousiaste auprès du public. Je félicite la compagnie Emporte-Voix pour ce travail de très belle facture. »
Son Excellence, Monsieur FREDERIC BONTEMPS,
Ambassadeur de France en Ethiopie
Toute l'Histoire du Théâtre de Platon à nos jours en presque 1h12 ! C'est le projet titanesque qui hante, depuis toujours, le presque metteur en scène Pierre R... et, enfin, aujourd'hui c'est jour de première ! Mais rien ne se passera comme prévu. Une seule solution : Improviser et Assumer. Il entraîne, dans ce sauvetage un peu fou, son amoureuse/ouvreuse/costumière... Ensemble ils feront de leur vie un théâtre et du théâtre leur vie. La pièce aura lieu, les 52 auteurs promis seront là, mais on jouera de tout le reste. Les plus grands textes deviendront un prétexte à s'avouer des sentiments enfouis, des rancoeurs, des non-dits, pour finir par s'aimer un peu plus grand, un peu plus fort, car c'est en public.
Ce spectacle a connu un vif succès sur les planches du Théâtre de La Luna à Avignon. " Une jolie façon de découvrir ou de redécouvrir, en souriant, le théâtre et ses plus grandes oeuvres !"
MADAME LOISEL - Cela m’ennuie de n’avoir pas un bijou, pas une pierre, rien à mettre sur moi. J’aurai l’air misère comme tout. J’aimerais presque mieux ne pas aller à cette soirée.
MONSIEUR LOISEL - Maintenant que la robe est achetée, enfin voyons Mathilde, tu n'y penses pas ! Tu mettras des fleurs naturelles. C’est très chic en cette saison. Pour dix francs tu auras deux ou trois roses magnifiques. Tu en mettras une là et deux autres là, par exemple.
MADAME LOISEL - Des fleurs ? Non... il n’y a rien de plus humiliant que d’avoir l’air pauvre au milieu de femmes riches.
MONSIEUR LOISEL - Il y a bien une autre solution...
MADAME LOISEL - Laquelle ?
MONSIEUR LOISEL - Des bijoux factices, qui imitent les vrais.
MADAME LOISEL - Tu n'y penses pas ! Non, je n'oserai pas m'approcher de qui que ce soit, j'aurais trop peur qu'on s'en aperçoive.
MONSIEUR LOISEL - Mais personne ne peut faire la différence.
MADAME LOISEL - Moi, je le saurais, je le sentirais, je ne penserais qu'à cela. Ma soirée serait gâchée. A quoi bon y aller dans ces conditions ?
MONSIEUR LOISEL - Je sais ! Que tu es bête ! Va donc trouver ton amie Mme Forestier et demande-lui de te prêter des bijoux. Tu es bien assez amie avec elle pour faire cela.
MADAME LOISEL, criant de joie - C’est vrai. Je n’y avais point pensé.
« Un tourbillon d’émotions et d’humour… Une touche de modernité incroyable.
- C’est passé trop vite ! C’est génial le théâtre ! À quand une prochaine représentation ? - sont les phrases qui revenaient sans cesse dans la bouche des élèves. » LA NOUVELLE REPUBLIQUE
« Ce spectacle de théâtre prouve la richesse, la variété mais surtout la modernité des textes de Molière. Merci Monsieur Molière! redonne à la comédie classique des lettres de noblesse auprès d’un public qui n’est plus habitué à la langue du XVIIème siècle. C’est une invitation à (re)découvrir des textes aussi variés dans leur rythme, que dans leur sujet ou leur genre. »
Le Bulletin du Centre Culturel Français, Doha (Qatar)
« Un succès unanime, la vivacité de votre jeu, l'intérêt de vos textes et l'intimité avec le public ont captivé les adultes et fasciné les enfants. »
Madame BEATRICE DE ANDIA,
Présidente des amis d’Azay-le-Rideau
Plus de ??? spectateurs depuis 2015
France
MENTIONS LEGALES : N° SIRET : 481.483.535.00037 - N° LICENCE DE SPECTACLE : PLATESV-R-2020-006106- Code APE : 9001Z